Pauvre blog délaissé.
Et oui, ce pauvre blog qui n'avait pas vu le clavier de Florette depuis le 23 octobre!
Me voici de retour de vacances un peu à rallonge (Boulet a raté 3 jours d'école, mais comme ils sont 38 en petite section, l'institutrice nous a clairement encouragés à l'école buissonnière à la réunion de rentrée) où beaucoup de choses se sont côtoyées.
La famille est partie en Normandie, dans la bonne vieille maison familiale, pour découvrir un grand-père hospitalisé 2 heures avant: un abcès prostatique qui le minait depuis 3 mois qui n'a été vu que tardivement. Une semaine d'antibiotique et un drainage plus tard, le malade a enfin été rendu à ses petits-enfants qui avaient été interdit d'hôpital.Sortant le mercredi, on a décidé de prolonger les vacances jusqu'au week-end.
Boulette qui nous avait déclaré une bronchiolite la veille du départ a sur-infecté celle-ci, donc radios, visites chez le médecin et 15 séances de kiné plus tard, tout va bien. Mais la pauvre puce a eu quelques nuits difficiles (et accessoirement sa maman, puis sa grand-mère qui s'est gentiment proposée pour prendre le relais).
Du côté de Boulet, pas de soucis, si ce n'est le départ de ce qui lui apparaît comme le paradis terrestre. Le retour à la maison entraîne "pleurs et grincements de dents". Vivement lundi qu'il retrouve ses copains.
Et Florette? Initialement, ces vacances étaient attendues impatiemment depuis cet été car elles renfermaient mon énooorme cadeau d'anniversaire: une semaine de thalasso, option massages du monde. Petitmari avait tout organisé en secret avec mes parents, baby-sitting, réception des courriers, etc...Et on profitait de ses 3 mois d'absence pour me bichonner.
Seulement, avec les aller-retours maison, hôpital, kiné, thalasso,etc... ça c'est un peu transformé en marathon. Du coup, si j'ai pu apprécier tous les soins, je suis un peu passé à côté de la détente.
Et maintenant, tous les paquets sont dans le salon, les enfants sont couchés (eh oui! finies les vacances, bienvenue dans la vraie vie) et il me tarde de retrouver mon petit rythme tranquille.
La machine va chauffer!